mercoledì 14 gennaio 2009

Gaza, ou l’hypocrisie inégalée




Gaza, ou l’hypocrisie inégalée
Le point de vue de Wafa Sultan (Aafaq.org)

La célèbre sociologue d’origine syrienne, Wafa Sultan, vient de publier l’un des points de vue le plus cinglants concernant la situation à Gaza. Elle plonge aux origines de l’islam pour expliquer le conflit entre deux conceptions diamétralement opposées : la culture de la vie contre la culture de la mort et du martyre. Elle s’appuie sur des exemples de l’histoire récente pour dénoncer une religion, une culture et une idéologie barbares... En voici les extraits les plus significatifs, traduits par Chawki Freïha.

Puisqu’il m’importe peu de satisfaire les uns, de défendre les autres ou d’éviter la colère des troisièmes, je peux dire que le Hamas n’est qu’une sécrétion islamique terroriste dont le comportement irresponsable à l’égard de sa population l’empêche de se hisser au niveau d'une responsabilité gouvernementale.

Mais ceci est conforme à l’habitude, puisque, à travers l’histoire de l’islam, jamais une bande de criminels islamistes n’a respecté ses administrés. (...) Je ne prétends pas défendre Israël, puisque les Juifs ne m’ont pas demandé mon avis quant à leur terre promise.

S’ils me demandent mon avis, je leur conseille de brûler leurs livres sacrés, de quitter la région et de sauver leur peau. Car les musulmans constituent une nation rigide exempte de cerveau. Et c’est contagieux. Tous ceux qui les fréquentent perdent la cervelle…

Avant la création de l’Etat d’Israël, l’histoire n’a jamais mentionné une guerre impliquant les Juifs, ni qu’un Juif ait commandé une armée ou mené une conquête. Mais les musulmans sont des combattants, des conquérants et leur histoire ne manque pas d’exemples et de récits de conquêtes, de morts, de tueries, de razzias… Pour les musulmans, tuer est un loisir. Et s’ils ne trouvent pas un ennemi à tuer, ils s’entretuent entre eux.

Il est impossible pour une nation qui éduque ses enfants sur la mort et le martyre, pour plaire à son créateur, d’enseigner en même temps l’amour de la vie.

La vie a-t-elle une valeur pour une société qui inculque à ses enfants qu’ils doivent tuer ou être tués pour aller au Paradis ?

Si on me demandait mon avis

Depuis le début de l’opération israélienne contre Gaza, je suis bombardée de courriers électroniques venant de lecteurs musulmans qui me demandent mon avis sur ce qui se déroule à Gaza. Je ne suis pas concernée par ce qui s’y passe, mais je suis intéressée par les motivations qui animent ceux qui m’écrivent.

Je suis convaincue que ce qui les motive n’est pas la condamnation de l’horreur, ni la condamnation de la mort qui sévit à Gaza. Car, si la motivation était réellement la condamnation de la mort, ces mêmes lecteurs se seraient manifestés à d’autres occasions où la vie était menacée.

Ceux qui condamnent le massacre de Gaza, par défense de la vie en tant de valeur, doivent m’interroger sur mon avis à chaque fois que cette vie-valeur était menacée.

Plus de 200.000 musulmans Algériens ont été massacrés par d’autres musulmans Algériens ces quinze dernières années, sans qu’aucun musulman ne s’en émeuve. Des femmes Algériennes violées par les islamistes ont témoigné et raconté que leurs violeurs priaient Allah et imploraient son Prophète avant qu’ils ne violent leurs victimes. Mais personne ne m’a demandé mon avis.

Plus de 20.000 citoyens syriens musulmans avaient été massacrés par les autorités (Hamas en 1983) sans qu’aucun musulman ne réagisse et sans qu’aucun ne me demande mon avis sur ces massacres étatiques.

Des musulmans se sont fait exploser dans des hôtels jordaniens tuant des musulmans innocents qui célébraient des mariages, symboles de la vie-valeur, sans qu’aucune manifestation ne soit organisée à travers le monde, et sans qu’on ne me demande mon avis.

En Egypte, des islamistes ont récemment attaqué un village copte et ont massacré 21 paysans, sans qu’un seul musulman ne dénonce ce crime.

Saddam Hussein a enterré vivants plus de 300.000 chiites et kurdes, et en a gazé beaucoup plus, sans qu’un seul musulman n’ose réagir et dénonce ces crimes.

Au plus fort des bombardements de Gaza, une femme musulmane, fidèle et pieuse, s’est fait exploser en Irak dans une mosquée chiite, tuant une trentaine d’innocents, sans que les médias ou les musulmans ne s’en émeuvent.

Il y a quelques mois, le Hamas avait aussi tué onze personnes d’une même famille palestinienne, accusés d’appartenir au Fatah, sans que des manifestations ne soient organisées en Europe ou dans le monde arabe, et sans qu’aucun lecteur ne m’écrive et ne m’envoie ses protestations.

Ainsi, la vie n’a pas de valeur pour le musulman.

Sinon, il aurait dénoncé toute atteinte à la vie, quelle qu’en soit la victime. Les Palestiniens et leurs soutiens dénoncent les massacres de Gaza, non pas par amour de la vie, mais pour dénoncer l’identité des tueurs. Si le tueur était musulman, appartenant au Hamas ou au Fatah, aucune manifestation n’aurait eu lieu.

CNN a diffusé un documentaire sur Gaza montrant une femme palestinienne qui se lamente et crie : mais qu’ont fait nos enfants pour être tués comme ça ? Qui sait. Peut-être s’agit-il de la même palestinienne qui se réjouissait il y a deux ans quand l’un de ses fils s’était fait exploser dans un restaurant de Tel-Aviv et qui disait souhaiter que ses autres enfants suivent le même exemple et deviennent martyrs ?

Mais quand l’idéologie et l’endoctrinement sont d’une telle bassesse, il devient normal que cette palestinienne perde toute notion de la valeur de la vie. Sinon, elle pleurerait ses enfants de la même façon, qu’ils se tuent dans un attentat suicide à Tel-Aviv ou sous les bombes israéliennes.

Car, la mort est la même, qu’elle qu’en soient les circonstances, et elle doit être rejetée. Au contraire, la vie mérite d’être vécue et pleurée.

Dans ce cas, comment puis-je me solidariser avec une femme qui lance les youyous de jouissance quand l’un de ses enfants se fait exploser contre les juifs, alors qu'elle pleure quand les juifs tuent ses autres enfants ?

Mais l’idéologie enseigne aux musulmans que tuer ou être tué permet au fidèle de gagner le paradis. Dans ce cas, pourquoi pleurer les Gazaouis alors qu’ils n’ont pas bougé le petit doigt pour les Irakiens, les Algériens, les Egyptiens ou les Syriens pourtant musulmans ?

Qui prend des risques, sinon les petits ?

Borhane, un jeune palestinien de 14 ans, a perdu il y a une dizaine d’années ses bras, ses jambes et la vue dans l’explosion d’une mine en Cisjordanie. La communauté palestinienne aux Etats-Unis s’est mobilisée pour lui venir en aide et financer son hospitalisation dans l’espoir de sauver ce qui pouvait l’être.

Lors d’un dîner de bienfaisance organisé à son profit en Californie, la plus riche palestinienne des Etats-Unis s’est présentée en grande fourrure, et a qualifié Borhane de héros. Elle s’est adressée à ce bout de chair immobile et inerte : Borhane, tu es notre héros. Le pays a besoin de toi. Tu dois retourner dans le pays pour empêcher les Sionistes de le confisquer…

L’hypocrisie de la palestinienne la plus riche des Etats-Unis l’empêche d’envoyer ses propres enfants défendre la Palestine contre les Sionistes.

Exactement à l’image des chefs du Hamas qui demandent les sacrifices à Gaza, mais restent à l’abri à Damas et à Beyrouth.

La guerre contre Gaza est certes une horreur. Mais elle a le mérite de dévoiler une hypocrisie inégalée dans l’histoire récente de l’humanité.

Frères musulmans

Une hypocrisie qui distingue les Frères Musulmans syriens qui annoncent abandonner leurs activités d’opposition, pour resserrer les rangs contre les sionistes. Mais ces Frères musulmans ont-ils le droit d’oublier les crimes du régime commis contre les leurs à Hama, Homs et Alep ?

Avant de se réconcilier avec le régime pour lutter contre les sionistes, ces Frères musulmans ont-ils dénoncé les crimes commis par leurs alliés et partenaires (dans la confrérie) en Algérie et en Irak ?

Ont-ils dénoncé la mort de centaines de milliers de chiites en Irak sur le pont des oulémas à Bagdad, pulvérisé par l’un des vôtres conformément aux enseignements de votre religion de la paix et de la miséricorde ?

Avez-vous une seule fois dénoncé les exactions contre les chrétiens en Irak ? Ou contre les coptes en Egypte ? Votre hypocrisie nous empêche de croire vos sentiments à l’égard des enfants de Gaza, puisque vous êtes responsables du pire.

Essayons d’imaginer ce que le Hamas aurait fait du Fatah, et des autres, s’il possédait la technologie et les armes d’Israël ? Essayons d’imaginer ce que l’Iran aurait fait des sunnites de la région, s’il détenait les armes modernes que possède Israël ? Ce serait sans doute le massacre garanti.

La guerre du mal contre le mal

J’ai récemment rencontré un religieux hindou en marge d’une conférence consacrée à la guerre contre le terrorisme. Il m’a dit : « Toutes les guerres se sont déroulées entre le bien et le mal. Sauf la prochaine, elle doit se dérouler entre le mal et le mal ». N’ayant pas compris ses propos, je lui ai demandé des explications.

Il m’a dit : « Je suis contre la présence américaine en Irak et en Afghanistan. Si les Etats-Unis veulent gagner la guerre contre les islamistes, ils doivent se retirer et laisser les deux pôles du mal s’entretuer. Les sunnites et les chiites étant nourris sur la haine, vont se battre et se neutraliser ».

Tirant la conclusion de ces mots remplis de sagesse, on peut dire qu’Israël contribue aujourd’hui, inconsciemment, au succès de l’islam.

En s’attaquant à Gaza, Israël pousse les musulmans à se solidariser et à surpasser leurs divergences. Et septembre noir en Jordanie est encore dans tous les esprits (…). Les exactions dont sont capables les arabes et les musulmans dépassent toute imagination.

Un char jordanien avait écrasé un palestinien, puis le conducteur du char est descendu de son blindé et a bourré la bouche de sa victime avec un journal… Un comportement qu’aucun militaire israélien n’a eu à Gaza.

Pendant les massacres de Hama en Syrie, des militants des Frères musulmans trempaient leurs mains dans le sang des victimes pour écrire sur les murs : "Allah Akbar, gloire à l’islam".

Je n’ai jamais entendu qu’un juif ait écrit avec le sang d’un autre juif des slogans à la gloire du judaïsme. Je le dis avec un pincement au cœur : pour sauver l’humanité du terrorisme, il faut que le monde libre se retire et qu’il laisse les musulmans s’entretuer.

Souvenirs

Je me souviens quand j’étais étudiante à l’université d’Alep, et quand l’ancien ministre syrien de la Défense Mustapha Tlass était venu nous rencontrer. Dans un élan d’hypocrisie, Tlass nous avait dit qu’« Israël craint la mort et la perte d’un de ses soldats lui fait peur et mal. Mais nous, nous avons beaucoup d’hommes et nos hommes ne craignent pas la mort ». Là réside la différence entre les deux conceptions et les deux camps. Le témoignage de Tlass semble avoir inspiré les dirigeants du Hamas aujourd’hui.

Ainsi, l’extermination de tous les enfants de Gaza importe peu aux dirigeants islamistes et du Hamas, la vie n’ayant aucune valeur pour eux. Ils se réjouissent simplement de la mort de quelques soldats israéliens. Pour les islamistes, l’objectif de la vie est de tuer ou de se faire tuer pour gagner le paradis. La vie n’a donc aucune valeur.

Si le Prophète Mohammed savait que le Juif allait voler un jour à bord des F-16, il n’aurait pas commandé à ses disciples de tuer les juifs jusqu’au jour dernier. Mais ses disciples doivent modifier cette idéologie par pitié pour les générations futures, et pour sauver leur descendance et lui préparer une vie meilleure, loin de l’idéologisation de la mort.

Les musulmans doivent commencer par se changer pour prétendre changer la vie.

Ils doivent rejeter la culture de la mort enseignée et véhiculée par leurs livres. C’est seulement quand ils y parviendront qu’ils n’auront plus d’ennemis.

Car, celui qui apprend à aimer son fils plus qu’à haïr son ennemi appréciera mieux la vie. Jamais la terre ne vaut la vie des personnes, et les Arabes sont le peuple qui a le moins besoin de la terre.

Mais paradoxalement, c’est le peuple qui déteste le plus la vie.

Quand est-ce que les Arabes comprendront-ils cette équation ? Quand commenceront-ils à aimer la vie ?

Traduction de Chawki Freïha

© MediArabe.info

32 commenti:

mustafà kemal ha detto...

solita propaganda pseudo-antiaraba.

veramente nauseante

Gianfranco Massi ha detto...

Le idee apocalittiche della psichiatra Waffa Sultan - che certe rewligioni possano indurre gli uomini a comportamenti autodistruttivi - ,anche se sconcertanti, potrebbero essere vere. Non sono un antropologo e nemmeno uno storico, ma credo che certi episodi della storia umana possano convalidare le teorie della signora Sultan, Noi abbiamo avuto la fortuna di nascere in Europa e abbiamo difficoltà a credere alla storia dei Maya.
Gian

mustafà kemal ha detto...

non capisco cosa cacchio c'entri la storia dei maya. il fatto è semplice se hai parenti o amici nei territori occupati lo puoi capire.

prova ad avere una casa a Gaza, uscire di casa, ritornarci e non trovare più niente. perdere tutto di colpo perché sua Santità Israele ha deciso che così è giusto perché sei palestinese e quindi automaticamente un terrorista.

prova a pensarci. e prova ad immedesimarti in un bambino di 10 anni che non ha più niente e nessuno. Forse allora capirai perché molti sono disposti a dare la vita per vendicare la fine della propria.

Giorgio Israel ha detto...

Prova ad avere una casa a Sderot e non sapere se la sera o la mattina dopo ti entrerà in cucina un Qassam. Perché Sua santità Hamas ha deciso che va ammazzato ogni ebreo dietro ogni pietra sulla faccia della terra (carta di hamas) perché gli ebrei sono tutti scimmie e maiali. Prova a pensarci e poi comincerai a capire le ragioni di quel che sta succedendo.

mustafà kemal ha detto...

GERUSALEMME - «La società israeliana, quando questa storia sarà finita, dovrà guardarsi allo specchio. E riflettere». La frase è di Michael Sfard, esponente di Volontari per i diritti umani, una delle nove ong israeliane che ieri mattina hanno sferrato una dura requisitoria contro il comportamento delle forze armate di questo paese e contro le decisioni prese dal governo ancora prima di autorizzare l'offensiva. «Dall'inizio della campagna il 27 dicembre - si legge nel documento presentato alla stampa e indirizzata al premier Olmert, al ministro della Difesa Barak, ai capi militari e alla massima autorità giudiziaria dello Stato - è nato il pesante sospetto di gravi violazioni della legge umanitaria internazionale da parte delle forze militari». Il termine «crimini di guerra» è emerso più di una volta nella presentazione del documento che attribuisce priorità agli aiuti alla popolazione di Gaza. Che Ban Ki-Moon, segretario generale dell'Onu, arrivando al Cairo, abbia parlato di «uso eccessivo della forza» da parte israeliana, dell'uccisione di molti palestinesi, della grande distruzione compiuta dai massicci bombardamenti e delle necessità di mettere fine agli scontri, è normale. Il quadro fornito dai rappresentanti delle organizzazioni israeliane, invece, sottolinea l'impegno di una parte della popolazione di questo paese a non accettare ciò che è stata definita la distruzione «dei valori morali della nostra società».
I morti sono ormai più di mille, due terzi dei quali civili e un terzo di questi sono bambini. «Come non vedere in queste cifre la conferma dell'uso sproporzionato della forza?», ha chiesto Jessica Montell, di B'tselem, che con le lacrime agli occhi ha detto che alcuni comportamenti «inspiegabili» delle truppe «mi fanno pensare all'Olocausto». Lei e altri hanno parlato di donne e anziani uccisi mentre uscivano dalle case sventolando bandiere bianche; di famiglie allargate (cento e più persone) concentrate in piccoli comprensori per sfuggire ai combattimenti e rimaste isolate e senza aiuti per giorni insieme con morti e feriti; di sei casi documentati di soldati che hanno sparato addosso al personale medico. Dodici tra medici e infermieri sono rimasti uccisi, diciassette sono feriti. Quindici strutture sanitarie, cliniche e depositi di medicinali, sono state attaccate.
Le organizzazioni insistono, contrariamente alla posizione espressa dai portavoce israeliani, nel sostenere che costituiscono violazione delle norme internazionali gli attacchi distruttivi contro obiettivi civili anche se sono «simboli di governo», ossia strutture civili di Hamas. Il rapporto delle ong denuncia anche le «condizioni disastrose» in cui vivono il milione e mezzo d'abitanti di Gaza. Manca l'energia elettrica perché alcuni impianti sono stati danneggiati e altri non ricevono carburante. I depositi di ricambi sono stati bombardati provocando «danni tremendi». Da una parte il documento (che non dimentica le responsabilità di Hamas), fotografa la situazione attuale nella “striscia” e il comportamento delle forze armate. Dall'altra, spiega come il collasso umanitario fosse prevedibile. Impedendo, negli ultimi 14 mesi, il rifornimento di carburante, prodotti alimentari e altro materiale «necessari per far fronte ai risultati dei combattimenti» Israele ha violato almeno due convenzioni internazionali praticando la «punizione collettiva» della popolazione palestinese.

anche questi sono nazisti signori?

vediamo come rispondete se a criticare Israele sono degli israeliani

Giorgio Israel ha detto...

Israele, a differenza di altri, è un paese libero dove esiste una molteplicità di opinioni. Questo non significa che chi critica il governo abbia automaticamente ragione, salvo che nel cervello di chi non ha idea di che cosa significhi un libero dibattito. Perciò che esistano israeliani (in stretta minoranza) che dicono quelle cose non significa che sia oro colato. Si può benissimo rispondere che sbagliano. Viceversa, siamo in fervente attesa di qualcuno che dall'altra parte dica che Hamas è una congrega di assassini. Anche Amnesty International oggi ha ammesso che i miliziani di Hamas si servono senza ritegno di civili come scudi umani. Aspettiamo che qualcuno abbia il coraggio e la dignità di condannare questa prassi infame. Altrimenti è meglio che stia zitto, perché non ha il diritto di impancarsi a dare giudizi morali a senso unico.

mustafà kemal ha detto...

insomma praticamente hai ragione solo te e tutti quelli che sputano sulla vita di palestinesi inermi.

sull'onu cosa hai da dire? anche l'onu sbaglia a condannare israele? anche lì sono terroristi?

lo sai che usano fosforo bianco che è illegale e che non può essere usato in centri abitati?

come si fa a difendere chi uccide 1000 persone e se ne frega dei trattati internazionali.

tu signor gestore del blog sei fazioso, più fazioso delle organizzazioni integraliste che critichi.

Israele ha sempre ragione e tutto l'universo ha sempre torto.

l'ho sentito pure troppo sto discorso. neanche l'evidenza serve a schiarire il cervello a chi ha il paraocchi.

a quanto pare l'olimpo greco si è trasferito di massa ad Israele.

tu cosa sei? Giove pluvio?

Giorgio Israel ha detto...

Nessuno sputa su nessuno, e le balle non si ripetono a casaccio: non esiste la minima prova dell'uso di fosforo bianco.
Ovviamente non rispondo più perché questa non è una discussione ma una serie di invettive.

Giorgio Israel ha detto...

Una volta terminate le operazioni militari nella Striscia di Gaza, inizierà il balletto legale intorno alla Corte penale internazionale dell’Aia. Un film già visto nel 2002 con la campagna “Scudo Difensivo”, quando le Forze di Difesa israeliane, al comando di Ariel Sharon, dopo due anni di attentati suicidi nelle città ebraiche, andarono a stanare i terroristi dentro i territori palestinesi. Ieri il ministro della Giustizia israeliano, Daniel Friedmann, si è messo al lavoro con un team di esperti per rispondere al fuoco della giurisprudenza antisraeliana e umanitarista. Il Palestinian Center for Communications and Research ha annunciato azione legale sui “crimini di guerra” d’Israele. Anche alcuni municipi israeliani, come Sderot e Ashkelon, bombardati da Hamas, vogliono muoversi. Ieri l’ambasciatrice israeliana all’Onu, Gabriela Shalev, ha avviato una pratica contro Hamas per aver usato i palestinesi come scudi umani. Intanto la Croce Rossa internazionale conferma che Israele non ha fatto alcun uso improprio delle bombe al fosforo bianco. Cadrà così – pare – uno dei miti neri della disinformazione. Ancora una volta mass-media, organismi internazionali e influenti organizzazioni non governative gettano accuse su Israele. Durante la guerra in Libano del 2006 i gruppi per i diritti umani, in particolare Human Rights Watch e Amnesty International, si affrettavano a diffondere condanne dei “crimini di guerra” di Israele. Nel villaggio di Qana, Human Rights Watch sostenne, senza prendersi la briga di alcun controllo sui fatti, che gli israeliani avessero fatto strage di civili. I titoli su giornali e tv mondiali spinsero il primo ministro israeliano Ehud Olmert a decretare una tregua che diede a Hezbollah l’opportunità di riorganizzarsi. Human Rights Watch corresse poi accusa e cifre, ma la ritrattazione passò inosservata. Il giurista di Harvard Alan Dershowitz ha scritto sul Los Angeles Times un editoriale sui “crimini di guerra di Hamas”. Ma a spezzare l’incanto antisraeliano ci ha pensato il guru dei diritti umani Irwin Cotler, ex ministro della Giustizia canadese e più alto magistrato del paese, docente di legge alla Mc- Gill University tirato in causa nelle controversie legate al diritto internazionale. Nonché liberal d’antan e difensore di Nelson Mandela. Un pedigree ineccepibile. Cotler è appena tornato dalla Striscia di Gaza, dove si è recato per stilare un rapporto sulla violazione delle regole di guerra. Risultato: “Hamas è un caso da manuale nella violazione della legge umanitaria internazionale”. Secondo il professor Cotler, è Hamas che dovrebbe essere portata davanti all’Aia. E Cotler convalida la propria asseverazione in sei punti. Primo. “L’attacco deliberato di civili è in sé un crimine di guerra”. E’ il lancio giornaliero di missili da Gaza verso città, ospedali, scuole, asili nido e case dei civili israeliani che abitano tra Beersheva e Sderot e Ashkelon. Parliamo di 5.700 razzi e 4.000 obici di mortaio lanciati da Hamas a partire dal 2005, l’anno del ritiro di Israele dalla Striscia di Gaza (da allora l’unico cittadino israeliano presente nella Striscia si chiama Gilad Shalit, è il soldato di leva sequestrato da Hamas due anni e mezzo fa). Da quando nel 2000 sono iniziati i lanci palestinesi da Gaza, i razzi hanno ucciso 19 israeliani. Dall’inizio della controffensiva sono stati lanciati 683 ordigni palestinesi sulla popolazione israeliana: sei civili uccisi, 53 feriti, oltre 200 persone soccorse per shock. E un milione di israeliani sotto tiro, privati della libertà di movimento. Secondo crimine di guerra. “Gli attacchi portati da Hamas dalle aree civili, siano appartamenti civili, una moschea o un ospedale, al fine di rendersi immuni da una risposta di Israele”. Spiega Cotler che “i civili sono persone protette e le aree civili sono aree protette. Ogni utilizzo dell’infrastruttura civile per lanciare bombe è in sé un crimine di guerra”. Come ha scritto l’esperto di diritto internazionale Yoram Dinstein, “se si verificano vittime civili in conseguenza del tentativo di porre i combattenti al riparo dietro ai civili, la responsabilità ultima ricade sul belligerante che ha messo a rischio in questo modo dei civili innocenti”. La responsabilità è di Hamas che spara dalle case e lascia che sia la popolazione locale a subire i colpi della controffensiva israeliana. L’alto tasso di perdite civili rispetto a quelle dei miliziani è dovuto alla scelta di Hamas di nascondere i propri combattenti nei quartieri civili, anziché affrontare le truppe israeliane. Pochi giorni fa un’intera famiglia palestinese è stata uccisa durante un bombardamento a Gaza City. Nella casa si nascondeva Iman Siam, il sanguinario fondatore del programma di lancio dei Qassam e il capo dell’artiglieria di Hamas. Assieme al predicatore di Hamas, Nizar Rayan, l’aviazione israeliana ha assassinato le quattro mogli e undici figli. Sebbene Israele avesse preavvertito il jihadista dell’attacco, la famiglia ha preferito morire. Non solo. Il giorno prima Rayan aveva convocato tutti. “Chi vuole morire da martire con me?”, ha chiesto ai figli. “Papà, lo vogliamo tutti”. E così è stato. L’esercito israeliano ha appena scoperto uno zoo e una scuola di Gaza minati da Hamas. Lo ha spiegato il parlamentare di Hamas Fathi Hammad: “Abbiamo formato scudi umani di donne, di bambini, di anziani e di mujahideen per sfidare la macchina di bombardamento sionista. E’ come se in questo modo loro dicessero al nemico sionista: ‘Noi desideriamo la morte così come tu desideri la vita’”. C’è un video, consultabile sul sito del ministero degli Esteri israeliano, che mostra come Hamas catturi bambini per strada e li disponga come scudi umani presso gli edifici. Una tattica nota. Il 20 novembre del 2006, l’esercito israeliano ordinò l’evacuazione della casa del capo terrorista Waal Rajeb al Shaqra. Hamas rispose convocando decine di bambini e donne presso la casa. Il portavoce dei terroristi, Musheir al Masri, arrivò sul posto con un “patto di martirio per il bene di Allah” da far firmare ai civili. Secondo il professor Cotler, Hamas ha violato la quarta convenzione di Ginevra e le regole della Corte dell’Aia con (terzo capo d’accusa) “l’abuso dei simboli umanitari al fine di lanciare attacchi. Come una ambulanza per trasportare combattenti o armi o camuffarsi da medico in un ospedale o usare il logo dell’Onu”. Alti comandanti di Hamas si sono nascosti nel reparto di maternità dell’ospedale Shifa di Gaza, usano l’ospedale per conferenze stampa, al riparo dal fuoco israeliano. Per lo stesso motivo, forze di Hamas si nascondono nei pressi di edifici che fungono da sedi di varie organizzazioni internazionali, come la Croce Rossa e le Nazioni Unite. Almeno 13 giornalisti palestinesi sono stati arrestati e torturati dalle milizie di Hamas da quando il movimento ha preso il controllo totale della Striscia di Gaza nell’estate del 2007. Le famiglie di 450 palestinesi uccisi negli scontri fra Fatah e Hamas hanno chiesto ad Abu Mazen di adoperarsi per portare alla sbarra le milizie “assassine” di Hamas per le “atrocità” commesse. Per non parlare della dissacrazione delle moschee da parte di Hamas. Come quella Ibrahim al Maqadma a Beit Lahiya, così chiamata in nome del capo terrorista responsabile dell’uccisione di 17 israeliani su un bus di Haifa. L’aviazione israeliana l’ha colpita perché la moschea era usata come santabarbara, centro di reclutamento di miliziani e base militare. Un video lo dimostra. La quarta violazione, contenuta anche nella carta di Ginevra, è “il pubblico e diretto incitamento al genocidio”. Cotler indica la stessa Carta di Hamas del 1988. Si parla di ebrei, li si addita come passibili di morte, si giustifica l’omidicio con le scritture coraniche, si persegue l’annientamento di donne, vecchi e bambini ebrei. “Ho visto in tv leader di Hamas riferirsi a Israele e agli ebrei come a figli di scimmie e maiali” scrive Cotler. Sui testi scolastici voluti da Hamas in due anni, gli ebrei sono chiamati “serpi assassine”. Quinto capo d’accusa, Hamas è colpevole di “crimini contro l’umanità” per la campagna a suon di kamikaze e razzi con cui ha messo in ginocchio la società israeliana. In quella palestinese non esistono modelli più grandi dei terroristi suicidi. Istigazione e indottrinamento all’odio sono l’esposizione più tossica dei nostri tempi: forgiano l’ambiente che permette al terrorismo genocida di affermarsi come norma sociale accettata e approvata. Un odio che declina gli ebrei come “maiali”, “immondizia”, “germi” e “parassiti”. Infine, c’è il crimine di guerra del “reclutamento dei bambini”. La maggior parte dei bambini ospitati nei campi estivi gestiti da Hamas nella Striscia di Gaza ha un’età che varia dagli otto ai 17 anni. Viene loro insegnato a usare armi automatiche e maneggiare granate, a immolarsi con la dinamite e li si avvia al sacrificio islamista. “Sto imparando come uccidere bambini ebrei” ha dichiarato al quotidiano Yedioth Ahronoth il piccolo Muhammad, undici anni, ospite di un campo di Hamas. Grazie a un giurista come Irwin Cotler, si potrà ancora sperare che il diritto umanitario non venga definitivamente trasformato nell’ultimo rifugio di ipocriti e canaglie e nello schermo con cui i guerrasantieri si sono fatti beffe. Quel diritto è uscito dalle rovine della Seconda guerra mondiale ed è costruito sui morti di Hiroshima, Dresda e San Lorenzo. Non merita di finire nel mattatoio di Hamas. Questa invece meriterebbe la sua Norimberga.
(da Il Foglio)

mustafà kemal ha detto...

una vecchia canzone partigiana durante la seconda guerra cantava: "pietà l'è morta!".

ora è il caso di dire: "obiettività l'è morta".

i tedeschi dicevano ai tempi di bismark: "deutschland uber alles", la Germania sopra a tutti.

ora sarà il caso di dire "Israele uber alles"?

che ne dici, suona bene?

hai presente Vico: corsi e ricorsi storici?

mi pare che ci siamo cambiano solo gli attori ma la pappa è sempre quella.

Anonimo ha detto...

mi ero ripromesso di non scrivere più ma la tentazione è forte caro professore.

non la riconosco più. Lei ha scritto lucidissimi articoli sulla mediocre scuola elementare italiana, ha dato delle analisi assai argute sulla situazione in cui versa la scuola italiana e ora se ne esce con queste apologie di Israele, senza neanche aver letto l'arte della guerra a quanto pare..

il suo messaggio poco sopra vale anche per israele lo sa?

lei scrive:

"Prova ad avere una casa a Sderot e non sapere se la sera o la mattina dopo ti entrerà in cucina un Qassam. Perché Sua santità Hamas ha deciso che va ammazzato ogni ebreo dietro ogni pietra sulla faccia della terra (carta di hamas) perché gli ebrei sono tutti scimmie e maiali. Prova a pensarci e poi comincerai a capire le ragioni di quel che sta succedendo."

un palestinese potrebbe fare altrettanto scrivendo:

"Prova ad avere una casa a Gaza e non sapere se la sera o la mattina dopo ti entrerà in cucina un missile israeliano. Perché Sua santità Israele ha deciso che va ammazzato ogni palestinese (musulmano) dietro ogni pietra sulla faccia della terra perché i palestinesi sono tutti scimmie e maiali. Prova a pensarci e poi comincerai a capire le ragioni di quel che sta succedendo."

ecco cosa pensano in palestina, nelle alture del Golan, in Cisgiordania, a Gaza e in mezzo mondo islamico.

sempre pronto caro professore a vedere i crimini di Hamas ma del tutto cieco nei confronti di Israele.
Questa la vede come guerra di religione e sta facendo di tutto per vederla come una guerra di ebrei contro islamici a quanto pare.

è una guerra di israeliani contro palestinesi. Israele sta facendo come lei: la sta trasformando in una guerra religiosa e questo sarà la rovina non solo di Israele ma di buona parte dell'occidente.
Israele ha messo una pietra tombale sul processo di pace (anzi altre mille pietre per ogni morto a Gaza), forse fra una ventina di anni esisterà uno Stato palestinese vicino a quello israeliano fino ad allora ci sono migliaia di bambini, donne e uomini disperati che farebbero di tutto per ottenere giustizia per ciò che hanno perso e se fossi uno di loro farei altrettanto.

generazioni di persone che hanno perso tutto e che gridano la propria rabbia nei confronti di chi gli ha tolto tutto.

lei non capisce questo e vede l'intero problema dalla parte di Israele. voi siete i buoni e loro i cattivi (tutti loro, anche i neonati scommetto).

tutti altrimenti non si capirebbe perché cacciare fuori i bambini kamikaze e soldato palestinesi se non per far vedere come i bambini palestinesi sono pericolosi terroristi.

il suo discorso è un'apologia, come ripeto, e un'esaltazione poco obiettiva di Israele

come dice Mustafà: Israele uber alles. Israele sopra a tutto pure sopra la pietà, pure sopra la morte di 1000 palestinesi.

Israele

che trionfo di retorica.

come in altri tempi: come a palazzo Venezia un certo tizio, tanti e tanti anni fa.

Giorgio Israel ha detto...

E questo sarebbe un modo di ragionare? Potrei anch'io rispondere con slogan, dicendo che qui siamo in presenza di retorica da comunisti, da gente che non sa dove sta di casa la democrazia, ecc. ecc. Mi avete chiamato fascista e credete di aver risolto il problema.
La "traduzione" della mia frase è un semplice nonsenso e dimostra il partito preso fanatico - dovrei dire la malafede? non lo dico - con cui si ragiona su queste cose. Israele non ha deciso che si deve ammazzare ogni palestinese, tantomeno ha mai detto che i palestinesi sono scimmie e maiali. Hamas invece lo ha scritto nella propria costituzione! Avete mai visto al mondo una costituzione in cui si da come compito l'assassinio collettivo di un altro popolo (gli ebrei, neppure solo gli israeliani) definiti come scimmie e maiali. Queste cose le abbiamo dette e ripetute, in questo blog ci sono molti documenti che le attestano, c'è il discorso di quel deputato di Hamas che le ribadisce, ecc. ecc. Ma è tutto inutile.
Ci vuole una bella faccia di bronzo a rivoltare la frittata a dire che qui vediamo soltanto le ragioni di Israele. È vero il contrario. Ci sono un paio di persone che scrivono ignorando deliberatamente qualsiasi argomento, che non rispondono nulla di nulla sul merito, che se infischiano altamente di qualsiasi documento, che non sono disposte a concedere una sola ragione (una soltanto) a Israele e poi hanno il coraggio di accusare gli altri di partigianeria.
Volete fare propaganda? Tutto è stato messo in rete perché le persone in buona fede giudichino e vedano. Ma non abbiate il sovraccarico di faccia di bronzo di farvi passare per obbiettivi quando siete capaci soltanto di sparare slogan da piazza e per voi i torti stanno tutti da una parte sola.
Mi fa poi davvero ridere di essere ora lodato per i miei interventi sulla scuola che non mi pare fossero molto apprezzati al momento. Anche queste trovate retoriche sono patetiche.
Chiusa la "discussione".

francini ha detto...

Hamas neppure riconosce il diritto di Israele a esistere. Ha scritto nero su bianco, nel suo statuto, non solo la legittimità ma perfino la necessità di uccidere gli ebrei e di distruggere Israele. Da quando Hamas è padrone della situazione a Gaza, ha trucidato centinaia di attivisti politici o intellettuali (palestinesi) di segno avverso. Usa sistematica donne e bambini come scudi umani nei luoghi più a rischio. I suoi progetti "civili" o "umanitari" (ospedali, scuole, centri di asssitenza, più o meno tutto finanziato da paesi come l'IRAN) sono puntualmente utilizzati per l'indottrinamento ed il reclutemento di terroristi.

Ha lanciato 4000 ordigni contro Israele sparando nel mucchio (se questi lanci non hanno ancora potuto causare migliaia di vittime è soprattutto perché tecnologicamente e militarmente non hanno ancora raggiunto un livello particolarmente elevato... ma dai tempo al tempo).

Chi è dunque il peggior nemico dei palestinesi? Se si tiene questa linea di condotta, poi il minimo che ci si può aspettare è una reazione.

I morti delle operazioni di questi giorni sono da ascrivere in primo luogo ad Hamas stesso.

Quanto all'ONU: si abbia coscienza di ciò che l'ONU è e non lo si invochi acriticamente. Le democrazie sono una minoranza. All'ONU il voto è per nazioni, tutte con ugual peso (salvo il diritto di veto riconosciuto ad alcuini Stati membri). La conseguenza è che i delegati di Stati dispotici, o peggio, posso ritrovarsi a presiedere commissioni sui diritti umani o a scrivere documenti sul razzismo, e così via. Può essere utile l'esistenza di una camera di compensazione delle relazioni internazionali, ma per favore si eviti di ascrivere all'ONU, acriticamente, un magistero civile e morale che, evidentemente, nelle condizioni attuali non può avere.

E' da anni che si parla di una "società delle domocrazie", alla quale si possa accedere solo soddisfacendo quei requisiti che caratterizzano una democrazia effettiva, e che sostituisca l'ONU come luogo di riferimento delle relazioni internazionali. Ma finora tutto è rimasto allo stadio di ipotesi.

sergio pasquandrea ha detto...

Io credo che finché si continuerà a ragionare per categorie totalizzanti (Israele = tutti gli israeliani, versus Hamas = tutti i palestinesi, se non addirittura "tutti i musulmani, assassini per natura") non si arriverà a niente.
Il governo israeliano non rappresenta tutti gli israeliani, tant'è vero che ci sono movimenti di opposizione e obiettori di coscienza; Hamas rappresenta una setta di fanatici assassini che tiene in ostaggio un popolo.
Ora, è semplice dire che il popolo in questione ha eletto "democraticamente" Hamas, ma bisogna anche considerare che per il popolo in questione, privo di un vero territorio e di una reale indipendenza politica e ostaggio in casa propria, l'unica alternativa ad Hamas era l'altrettanto inetta e corrotta Fatah.
Quanto alla presunta non-volontà di Israele di sterminare i palestinesi, dichiarazioni ce ne sono a bizzeffe, e qualcuna se ne trova qui:
http://www.paolobarnard.info/intervento_mostra_go.php?id=86.
Ma non è questo il punto.
Sia chiaro che non voglio fare il solito giochino di "chi ha cominciato", perché si rischia sempre di andare avanti all'infinito: ha cominciato Hamas lanciando i missili? Israele mettendo l'embargo alla striscia di Gaza? Arafat ritirandosi da Oslo? Sharon massacrando i civili a Sabra e Chatila? I terroristi palestinesi uccidendo gli atleti a Monaco o sequestrando l'Achille Lauro? L'esercito israeliano facendo ritorsioni contro i civili? I paesi arabi attaccando Israele nel 1948? L'ONU assegnando agli Ebrei i territori prima palestinesi? eccetera eccetera.
Non voglio neanche fare lo squallido conto dei morti (poche decine di israeliani, centinaia di palestinesi), né la facile constatazione dello squilibrio delle forze in campo (missili artigianali contro la quarta potenza militare del mondo, guerriglieri improvvisati contro soldati iper-addestrati), perché so per esperienza essere argomenti inutili, facilmente contestabili.
Dico solo che non si dovrebbe accettare, in linea di principio e da nessuna delle due parti (né da parte di un movimento terrorista come Hamas, né da quella di uno stato "civile" come Israele), l'idea che una qualsiasi forma di violenza sia accettabile o addirittura legale. Neppure la violenza per REAZIONE: perché allora ognuna delle due parti può invocare la propria "reazione" (i palestinesi contro l'occupazione israeliana, gli israeliani contro il terrorismo di Hamas).
Né si può accettare che un popolo pretenda di cancellare il diritto di un altro ad avere un proprio stato (come proclama di voler fare Hamas e come, di fatto, fanno gli israeliani).
Ma questo è idealismo: la realtà è che dalle due parti si stanno massacrando da 60 anni, e chi ci va di mezzo sono, come sempre, gli innocenti, israeliani e palestinesi che siano.

Anonimo ha detto...

ok-

chiusa la discussione vista la sua totale incapacità a capire ciò che scrivo forse per problemi con la lingua italiana.

mi spiace la prossima volta troverò qualcuno che tradurrà ciò che scrivo in suomi, forse andrà meglio

buona serata

nb: ha frainteso tutto ciò che ho scritto al 1000%

Lucio ha detto...

E' un po' di tempo che non intervengo su questo blog, non per particolari motivi, semplicemente perche' cominciavo ad essere ripetitivo. Ma (e lo dico senza retorica) ho continuato a seguirlo, per il livello culturale che lo sostiene e lo rende cosi' interessante. E' ovvio che un argomento come quello del conflitto israelo-palestinese renda l'autore particolarmente sensibile a livello personale. Non solo, ma mi aspetto che il prof. Israel possegga una competenza anche dal punto di vista storico che altri (e me per primo) forse non hanno. Mi chiedo dunque se non fosse piu' sensato ed utile passare dal terreno della lite a quello dell'analisi storica, ben sapendo che quello che sta avvenendo a Gaza lascia molti nel dolore e rende cosi' difficile ogni analisi pacata. Vorrei cominciare con una questione, anzi una domanda: perche' Hamas vuole distruggere Israele? Perche' Hamas non accetta l'esistenza dello stato d'Israele? Attenzione: cio' che e' oggi Hamas, ieri era Al Fatah e l'altro ieri Nasser o Assad (padre), e non e' quindi un problema liquidabile con "il terrorismo islamico". Mi spingo un po' piu' in la', a dare a me stesso una mezza risposta, che nessuno abbia tema di correggere o smentire se fosse errata (e sperando che venga interpretata come un contributo dialettico, non come un'offesa per nessuno). Non sta forse il nocciolo dell'intera questione nel come le potenze occidentali hanno atteso alla fondazione dello stato d'Israele, alla fine del mandato britannico nel 1948, forse non prevedendo che stavano creando una polveriera o forse addirittura fregandosene? Non era forse opportuno gestire quella, chiamiamola cosi', transizione politica, in modi e con tempi diversi? Non si doveva forse, nel soddisfare il sacrosanto diritto del popolo ebraico ad avere una patria, prestare piu' attenzione anche ai diritti di chi gia' abitava in quelle terre?

Cordialmente ed assolutamente senza polemica, anzi, forse un po' ingenuamente,

Lucio Demeio.

Caroli ha detto...

La solita propaganda di sinistra in attesa di avere hamas a palazzo Chigi. Io non sono paziente come il prof. Israel, che pazientemente risponde. Sia adal che mustafà kemal (ma si vergogni! un italiano con uno pseudonimo arabo! vada dal suo amico osama bin laden!!!) non meritano alcuna risposta. La pazienza sta nel pubblicarli: credo, professore, che Lei si sia conquistato delle benemerenze in Paradiso.

Luigi Sammartino ha detto...

Se una persona esprime un'opinione e quest'opinione viene liquidata come propagandistica in quanto tale, allora non ha senso avere un blog, perché un blog è un luogo di discussione e confronto, non un luogo di reciproca squalifica. Questo modo di discutere non porta a nulla, ma solo a un muro contro muro.

Demeio pone la questione se le nazioni occidentali non abbiano una parte di responsabilità in questa questione terribile. Se qualcuno pensa che sia così allora esprima la sua opinione, se la pensa in un altro modo allora pubblichi anch'egli il suo post.

Mi rendo conto che la questione accende gli animi più di altre, anche perché qui non si sta parlando di una riforma scolastica ma di una guerra in piena regola.

Però parlare di "pazienza" del moderatore di un blogger perché accetta di pubblicare delle opinioni che non condivide, significa alla fine snaturare quella che è la natura di un blog, che non è quella di raccogliere adesioni al proprio pensiero, ma di aprire una discussione su un tema specifico. E in una discusione c'è sempre chi è d'accordo con noi e chi non lo è.

Questa critica vale anche per chi ovviamente ha dissentito dalle opinioni di Israel. Se Israel pubblica un articolo e io dico che esso è in definitiva solo propaganda, allora è inutile discutere. Ognuno si tenga le sue idee e se le coltivi in soliloquio.

Giorgio Israel ha detto...

1) Il blog non è un luogo dove aprire discussioni su temi specifici. Tanto per prendere una definizione diffusa: "Il blog permette a chiunque sia in possesso di una connessione internet di creare facilmente un sito in cui pubblicare storie, informazioni e opinioni in COMPLETA AUTONOMIA. Ogni articolo è generalmente legato ad un thread (il filo del discorso), in cui i lettori possono scrivere i loro commenti e lasciare messaggi all'autore. Il blog è un luogo dove si può (virtualmente) stare insieme agli altri e dove in genere si può esprimere liberamente la propria opinione. È un sito (web), gestito in modo AUTONOMO dove si tiene traccia (log) dei pensieri; quasi una sorta di DIARIO PERSONALE." Infatti lei parla del "moderatore di un blog" come se fosse il webmaster o gestore di un sito. Grave errore. Il blogger pubblica le sue cose, chi vuole se le legge, può lasciare un commento, il blogger lo pubblica se lo ritiene opportuno, altrimenti lo cestina. Può essere paziente, ma anche impaziente. Alla fin fine, il sito è roba sua. Può non piacere, ma è così.
2) Chi fraintende questo crede di far parte di un newsgroup o di un gruppo di discussione. È un'altra cosa. Chi fraintende spedisce messaggi lunghissimi, talvolta libri, credendo di aver trovato un posto dove pubblicare cose che altrimenti nessuno si filerebbe di pezza, apre discussioni con altri come se non ci fosse il blogger, sentenzia, insulta, pontifica. Gli direbbe Petrolini: se non ti sta bene, apriti un blog per conto tuo.
3) Io seguo la politica della pazienza. Pubblico tutto, quasi tutto, salvo gli insulti. Persino quelli ed espressioni volgari: vedi sopra. Ma mi sono anche stufato. Per esempio, ho deciso di assumere un criterio: cestinare tutti quelli che mi scrivono dandomi del tu. Il tu si riserva ai parenti e agli amici. Non mi sono mai permesso di dare del "tu" a uno studente, è roba da cafoni e da docenti che non capiscono il loro ruolo. Non vedo perché, approfittando del possibile anonimato, mi si debba interpellare, magari anche con epiteti spiacevoli, come non mi permetto con nessuno e non si permette con me il primo passante.
4) Ho deciso anche di cestinare chi protesta se non si vede pubblicato entro un'ora. Come sopra: apriti un blog per conto tuo, e se il tuo problema è che temi che non si fili nessuno, non mi riguarda.
5)Non mi pare affatto che Caroli ce l'avesse con Demeio, che è persona educata, civile e sa discutere. Infatti, a lui non avevo ancora risposto (ammesso che sia un obbligo rispondere: se così fosse chiuderei il blog tra un minuto).
6) La mia risposta è - premesso il ringraziamento per l'apprezzamento del blog - che la sua obiezione non è nuova ed è stata oggetto di molte analisi e ha ricevuto risposte esaurienti. Purtroppo questo è il caso - e prego di credere che lo dico senza la minima supponenza - in cui si constata che un blog non può diventare il luogo in cui si risolvono questioni su cui sono stati scritti libri. Anzi - e non lo dico a Demeio - una delle cose che periodicamente mi fanno sentir voglia di chiudere è che molti credono di poter risolvere questioni che richiedono analisi approfondite con quattro sentenze sparate a casaccio. È una manifestazione di incultura. Sulla questione specifica, ripeto, ci sono molti libri. Io stesso ne ho scritto uno - La questione ebraica oggi, Il Mulino - e quindi mi si permetterà di non rispondere qui. Ripeto, non è supponenza. Ma che senso ha, dopo aver sudato qualche mese a scrivere un libro, fare un sunto inevitabilmente mal fatto di questioni sottili e che richiedono la dovuta argomentazione? Dico soltanto che quella tesi non sta in piedi. Non c'era una Palestina araba, prima di Israele, non c'era soltanto presenza di popolazioni arabe, il legame degli ebrei con la Terrasanta è molto ma molto più lontano, profondo e conservato nel tempo - anche fisicamente - di quanto pretendono certi. Bisognerebbe fare un viaggio a Gerusalemme per rendersene conto e, visitare in particolare il cimitero ebraico del Monte degli Ulivi, dove per duemila anni migliaia di ebrei sono venuti a morire per testimoniare il legame con un terra da cui sono stati continuamente esiliati e tenuti lontano e in cui, ciononostante sono sempre tornati.

Lucio ha detto...

Sinceramente non capisco l'intervento di Sammartino. Se questo blog rimane ad un livello culturale ed intellettuale elevato, e' proprio grazie alla presenza di un moderatore. Ma non solo, ovviamente.

Al prof. Israel: mi riprometto di approfondire ulteriormente le mie conoscenze storiche ma, da quel che ne so finora, non e' proprio vero che non ci fosse una Palestina araba prima di Israele. E' vero solo nel senso che non c'era uno stato arabo palestinese, semplicemente perche' c'era la Gran Bretagna (e prima ancora l'Impero Ottomano). Ma la popolazione araba residente in Palestina era maggioritaria rispetto a quella ebraica, anche in rapporto 1:10 se si guarda agli inizi del '900.

Cordialmente, Lucio Demeio.

PS. La ringrazio della risposta precedente, lo so bene che non e' un obbligo!

Giorgio Israel ha detto...

Altre due osservazioni.
La costituzione di Fatah prevede la distruzione dello stato di Israele ma non l'assassinio di tutti gli ebrei come quella di Hamas. Ora, vorrei sapere, quale mai ingiustizia al mondo può giustificare un programma razzista e genocida di questo genere? Senza contare che se ne sono viste di peggio: la costituzione dei moderni stati di Grecia e Turchia ha comportato lo spostamento di 6 milioni di persone e si potrebbe continuare.
Comunque, non esiste un caso al mondo di un paese che pretenda di costituirsi sul programma della distruzione di un altro paese. Per cui, si può discutere quanto si vuole sulle vicende storiche, ma l'idea che possa esistere una giustificazione di qualsiasi tipo a una costituzione come quella di Hamas è fuori del mondo. In tal caso, l'atteggiamento di chi dice che il lancio di 7000 missili non giustifica questa offensiva sarebbe di un'ipocrisia e di un'immoralità senza fondo: sarebbe invece giustificabile ammazzare tutti gli ebrei di Palestina per compensare un (preteso) torto subito?

Lucio ha detto...

Sono d'accordo. Ma di fronte all'odio (e cos'altro e' questo se non odio?) non basta registrare, bisogna anche cercar di capire da dove viene, quale ne e' la causa. Allora la storia puo' venire in soccorso. Per cercare le motivazioni, le ragioni, i perche'.

Per completare la riflessione sulle responsabilita' delle potenze occidentali, vorrei anche aggiungere che, mi pare, le responsabilita' della Gran Bretagna non debbano essere sottovalutate. Non, si capisce, nel singolo razzo di Hamas che colpisce Sderoth, non nelle cannonate israeliane a Gaza, ma nei DUE voltafaccia che ha fatto durante il suo mandato: prima promettendo l'indipendenza agli arabi, poi cambiando atteggiamento e favorendo le immigrazioni sioniste (parola che uso in senso storico e non spregiativo), poi cambiando di nuovo idea con il Libro Bianco (al che, se non erro, il movimento sionista cerco' appoggi negli Stati Uniti). Non dimentichiamoci anche la partecipazione di alcuni paesi arabi alla seconda guerra mondiale, contro la Germania ed a fianco dell'Inghilterra, con la promessa che il loro aiuto sarebbe stato ricompensato con la nascita di uno stato arabo-palestinese.
Cosa puo' fare un comportamento simile, se non generare odio?

Sempre cordialmente,
Lucio Demeio.

Caroli ha detto...

Lucio, mi sorprende! Lei risponde ancora a Sammartino? Io ho smesso. Ed ho smesso anche di leggere quanto scrive, tanto è comunque destituito di fondamento.

Lucio ha detto...

Per Caroli: Il mio commento precedente non era una risposta a Sammartino!

Vorrei fare altre due osservazioni.
Dice il prof. Israel

si può discutere quanto si vuole sulle vicende storiche, ma l'idea che possa esistere una giustificazione di qualsiasi tipo a una costituzione come quella di Hamas è fuori del mondo.

ed anche


il legame degli ebrei con la Terrasanta è molto ma molto più lontano, profondo e conservato nel tempo - anche fisicamente - di quanto pretendono certi. Bisognerebbe fare un viaggio a Gerusalemme per rendersene conto e, visitare in particolare il cimitero ebraico del Monte degli Ulivi, dove per duemila anni migliaia di ebrei sono venuti a morire per testimoniare il legame con un terra da cui sono stati continuamente esiliati e tenuti lontano e in cui, ciononostante sono sempre tornati.


Le vicende storiche, ed in particolare il passato anche molto, molto lontano, sono un riferimento essenziale per il progetto sionista, a partire da Herzl, come sembra ammettere lei stesso. Come altrimenti si giustificherebbe la creazione di uno stato ebraico in una terra all'epoca abitata da una forte maggioranza araba? Solo con l'origine storica (e religiosa, ma su questo e' gia' un terreno meno solido) di quel popolo. Se e' dunque lecito guardare agli eventi storici di due-tremila anni fa, perche' non a quelli di 50 o 60 anni fa?

Codialmente,
Lucio Demeio.

agapetòs ha detto...

Caro Demeio, i fenomeni migratòri, quando avvengono con numeri consistenti, portano quasi sempre a situazioni dolorose. La storia ne è piena.
Solo pochi decenni fa l'Italia, con la Seconda Guerra Mondiale, ha perso territori storicamente prima veneziani e poi italiani come l'Istria e la Dalmazia.
Vi sono state tante - e censurate - sofferenze da parte dei profughi di quei territori, ma abbiamo dovuto accettare la nuova situazione. E' stata la cosa più ragionevole da fare, anche se sicuramente non è stato giusto che il peso della sconfitta sia stato pagato maggiormente da quelle popolazioni. Ma non mi pare che partano razzi dal Friuli verso i territori istriani.
Al di là del giudizio che si può dare del fenomeno sionista, sta di fatto che lo stato di Israele è oggi una realtà formata da milioni di persone. Ed è una realtà che ha trasformato il deserto in oasi ed ha portato la democrazia in un'area che per il resto ne è del tutto priva.
Come peraltro riferito in questo articolo, è molto chiaro che agli altri paesi arabi dei palestinesi poco importa, ma si servono di essi in funzione antiisraeliana.

Lucio ha detto...

Caro Corbelli ("Agapetos"),

lei ha assolutamente ragione nel dire che le migrazioni di popoli hanno spesso generato dolore ed attriti o conflitti anche sanguinosi. Ma questo non vuol dire che non possiamo imparare dalla storia per evitare il ripetersi di tali situazioni.

Il paragone con il problema dei giuliano-dalmati (per favore, lasci stare il Friuli che non c'entra) e' tuttavia molto debole e quella situazione troppo lontana dalla situazione arabo-israeliana, per tante ragioni che magari possiamo discutere - se le va - in separata sede (ma non ci vuol molto, possiamo farlo anche qui in due righe). In Alto Adige c'e' una situazione analoga, anche se ha causato meno sofferenze nella storia recente.

Sono forse meno lontane le situazioni di sofferenza derivanti dalle colonizzazioni europee in varie parti del mondo, come quella spagnola nel Peru' o quella anglo/americana nel Nordamerica. Ovviamente, fatte le debite proporzioni e con le dovute differenze (spagnoli ed inglesi una patria ce l'avevano, e non sono stati perseguitati per 2000 anni come gli ebrei). Anche li', ci sono state guerre, condotte dai piu' forti eserciti regolari di quell'epoca contro ... bande di terroristi? Ed in aggiunta, la situazione si e' risolta con un dato di fatto (abbastanza simile a quello che indica lei nel suo commento) e non con il dialogo o la giustizia interzazionale. Ma chi mai si sognerebbe oggi, anche negli Stati Uniti, di giustificare, ad esempio, Wounded Knee?

Cordialmente,
Lucio Demeio

Lucio ha detto...

Forse vale la pena di leggere questo articolo di David Grossman.

Lucio Demeio.

vanni ha detto...

Egregio Demeio, leggo ora l'articolo da Lei suggerito: scusi ma faccio fatica a comprendere le ragioni di Grossman. Con Egitto e Giordania qualcosa di stabile è pur stato raggiunto.
Una rivalsa per i fatti libanesi? I Kassam sempre più attivi e penetranti sono quindi un pretesto? Israele si rifiuta di parlare? In realtà si parla e si parlerà, Israele si è mai sottratto al dialogo? Per un dialogo si dev'essere in due, QUALUNQUE cosa ciò significhi. Che la guerra sia la guerra non c'è bisogno che me lo venga a raccontare Grossman.
"...Israele rimane molto più forte di loro e ha ancora la possibilità di influenzare enormemente il livello di violenza nella regione, di minimizzarlo, di cercare di annullarlo..." ma per fortuna che è così, per fortuna.
Errori di rotta... Grossman pensa di aver indicato una rotta?
Penso al timoniere Churchill che inneggiava al dialogo sotto le V2... ma forse qualcuno vede trasfigurare nei panni di Churchill i capi di Hamas...

agapetòs ha detto...

Caro Demeio, credo che Israele sia obbligata al dialogo con tutte le forze palestinesi che non cerchino unicamente la sua distruzione. Ma non vedo proprio come possa dialogare con Hamas.
Anche gli stati europei dialogarono con Hitler e quale fu il risultato? 1938 Monaco, 1939 Danzica!

Giorgio Israel ha detto...

E vogliamo aggiungere che neppure Hitler ha messo in costituzione la distruzione dell'Inghilterra..
Comunque, bisognerebbe andare a leggere su qualche giornale israeliano, magari in rete. Non esistono soltanto Grossmann, Yeoshua e Oz. Sarebbe come se per citare pareri sull'Italia ci si riferisse sempre a Camilleri, Dario Fo o Dacia Maraini. Capisco che i giornali italiani (e non soltanto) pubblicano soltanto i loro articoli, però francamente non se ne può letteralmente più. Sono persone rispettabili ma non sono né la Sibilla cumana né la Voce del Signore. Talvolta, diciamo pure che scrivono un sacco di fesserie, quando non scrivono romanzi.

Lucio ha detto...

Chiedo scusa, signori, ma i vostri paragoni storici mi sembrano proprio fuori fase. Ma come si fa a dire

E vogliamo aggiungere che neppure Hitler ha messo in costituzione la distruzione dell'Inghilterra ??

oltre agli altri richiami al Fuehrer che ritrovo negli altri commenti? Ed oltre ai richiami al problema giuliano-dalmata (richiami presenti anche in uno scritto del Prof. Israel reperibile sul suo sito web), che e' piu' lontano dal problema arabo-palestinese di quanto si possa immaginare? Ricordo a tutti che Hitler INVASE mezza Europa e teorizzo' la DISTRUZIONE TOTALE del popolo ebraico, riuscendoci alla fine solo in parte. Non c'e' nessun termine di paragone con Hitler nella storia moderna, per trovarne uno credo che bisogna risalire a Gensis Khan o Attila, ma sono troppo lontani.

Ricordo anche che l'argomento "ma allora anche con Hitler ..." e' stato usato ed abusato a non finire per giustificare l'intervento in Iraq, specialmente da noti esponenti del giornalismo italiano (di destra ...).

Forse dovevo ascoltare Agapetos quando, sul mio blog, disse

Mi rendo conto però che, per usare la terminologia della MQ, viviamo in due spazi vettoriali pressoché ortogonali.

Forse e' davvero cosi'.

Lucio Demeio.

Giorgio Israel ha detto...

Per trovare un termine di paragone con Hitler non c'è bisogno di andare a Gengis Khan, basta andare a Stalin, che ha ammazzato deliberatamente anche più gente. Ma già mi immagino le braccia levate al cielo. La costituzione della Grecia e della Turchia moderna hanno comportato lo spostamento di 6 milioni di persone e la pulizia etnica di intere comunità. Io sono qui perché è stata spazzata via la comunità ebraica di Salonicco bruciando l'intero quartiere ed espropriando tutto senza un soldo di compensi. Eppure non sto qui sotto una tenda da decenni ad aspettare che mi ridiano una casa a Salonicco. Anche qui immagino le braccia levate al cielo. Si temo che siamo in spazi ortogonali. E francamente non ho la minima voglia di discutere in questo modo. Quando si liquidano con un'alzata di spalle i paragoni che non fanno comodo, la discussione è finita. È la sagra del pregiudizio.